Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Mesa of the Lost Women
Mesa of the Lost Women
16 octobre 2008

ELSIE BECKMANN MORD LA POUSSIERE...

En première partie de Tamio SHIRAISHI & MICO qui joueront avec Bruno FERNANDES et Thierry DELLES (http://michelhenritzi.canalblog.com/) :

mesa_kty


La ritournelle de Peer Gynnt sifflée sur 100 mètres de silence.
Et puis M bien sûr.
M les "Mesa", M les maudits, M les monstres qui invitent Cathy Heyden, seule avec son saxophone à pouvoir noyer ces deux rats dans sa colonne de souffre, tel le joueur de flûte de Hamelin.
Wie heißt du denn ?

A Metz. Au Théâtre du Saulcy. Jeudi 23 Octobre. 20h00. Entrée libre pour musique libre.

mesa_lorre

Publicité
Publicité
Commentaires
E
Mais d'où sortent tous ces zyvas sur le Mesablog ? Et pourquoi vénèrent-ils l'édenté, celui qui cherche à se justifier avec sa prose de victime mais qui frappe indifféremment son singe apprivoisé et les hôtesses de l'air parce qu'il a des petits problèmes comportementaux sans doute dûs au stress d'être une "star" ? D'autres donneurs de leçons ?<br /> Et 'M'atthieu . Merde non. Pas lui quoi. Cet eunuque nain ? Cette Barbe-à-papa à paillettes roses de la chanson française qui, signe de ces temps lamentables, se prend pour Prince et ne peut s'empêcher de faire démonstration de son virtuosisme de pacotille ? Doit sans doute être capable de composer au ukulélé dans les chiottes du TGV tellement elle paraît inspirée la petit frappe. Mais où va vraiment se cacher la perversité ? Je vous le demande.<br /> Le Mesablog m'a l'air bien mal fréquenté ces temps-ci. La jazz polizei ne fait plus son boulot. La France est foutue.<br /> <br /> Heureusement que le "grand Jim" est là pour relever le niveau.<br /> <br /> Chapitre XXVII<br /> <br /> Moi et les ténèbres. Il n'y avait plus rien d'autre. Et le peu qui restait de moi s'enfuyait de plus en plus vite.<br /> Je me mis à ramper. Je me traînai, je roulai sur moi-même, progressant peu à peu. La première fois, je manquai l'endroit que je cherchais.<br /> Je dus refaire le tour de la pièce avant de le redécouvrir. J'étais au bout du rouleau, mais j'y arrivai tout juste. Je me hissai le long de la pile de bouteilles vides, et je basculai de l'autre côté dans un fracas de verre brisé.<br /> Et il était là, bien sûr.<br /> Et la mort était là.<br /> <br /> Chapitre XXVIII<br /> <br /> ET ELLE SENTAIT BON.<br /> <br /> fin.<br /> <br /> in "nuit de fureur" (savage night - 1953)
F
SUR LA PHOTO çA LUI VA BIEN L'GALURE AU LOÏC (DU GRAND GUIGNOL). VOUS TROUVEZ PAS ?
R
"Les pauvres petites filles sans défense qui pleurent en voyant leur père entrer dans leur lit. Les hommes qui battent leurs femmes et les femmes qui hurlent des supplications. Les gosses qui pissent au lit, d'angoisse et de peur, et leurs mères qui les punissent en les aspergeant de poivre rouge. Les visages hâves, hagards, ravagés par le ténia et le scorbut. La sous-alimentation, les dettes toujours plus fortes que le crédit." BREF, ON SE MARRE. ET C'EST UN EXTRAIT DE 1275 ÂMES.
B
HÉ! LA PETITE ELLE A PAS L'AIR BIEN. S'RAIT PAS TOUTE DROGUÉE QUAND MÊME... AVEC TOUS CES CHINOIS, LÀ...
D
LE LIEN VERS M, LE SEUL, L'UNIQUE :<br /> <br /> www.qui2nous2.com/
Publicité